Dès le lycée Lakanal à Sceaux, Philippe Giral s’initie à la photographie et effectue un stage dans un studio photo, rencontrant des photographes de « Salut les copains ».
Pendant ses études de médecine, il devient photographe pour l’unité de recherche sur l’épilepsie, contribuant à un ouvrage de référence sur l’anatomie du cerveau. Il apprend le développement et le tirage de photos en laboratoire.
En 1981, il voyage au Ladakh et réalise un reportage sur la vie des moines bouddhistes dans le temple d’Hémis pendant deux mois. Les études de médecine prennent ensuite le dessus, mettant la photographie de côté au profit de publications scientifiques.
Vers la fin des années 90, il reprend la photographie en numérique. Ses œuvres se concentrent sur la photographie de rue et d’architecture, souvent avec des perspectives orthogonales basées sur la similarité de couleur, de forme ou de sujet.
