Née et vivant à Paris, Esther Ségal est photographe plasticienne depuis plus de vingt ans.
Elle suit des études universitaires et soutient son doctorat en Arts et sciences de l’Art en 2000 avec les félicitations du jury à l’unanimité. Très vite, elle s’inscrit dans le champ de l’art contemporain en de- venant membre actif de l’association « Jeune création / Jeune pein- ture ». Remarquée par des commissaires et figures institutionnelles de l’art tel que Jean-Luc Chalumeau, Ciro Giordano Bruni, Gérard- Georges Lemaire, André Rouillé, Christian Gattinoni, Claude Mollard, elle présente ses travaux au musée de la photographie à Brescia en Italie dans le cadre de la Biennale de la photographie, puis inaugure la semaine culturelle artistique à la Maison du Mexique.
Jean-Luc Chalumeau la soutiendra en lui offrant la couverture de l’un de ses ouvrages sur l’art et montrera son travail comme jeune espoir – aux côtés d’Orlan, Velickovic, Buren – dans Campus Europe Art, une série d’expositions au sein des universités – dont la Chapelle de la Sorbonne en France. Par la suite elle participe à « Art Sénat » à l’Orangerie du Luxembourg aux côtés de l’artiste d’honneur Gérard Fromanger.
La photographie ne la quittera jamais et plus d’une centaine d’expositions nationales ou internationales se succéde- ront : collectives et individuelles, en institutions, festivals ou galeries, notamment « Lames de fond » chez Baudouin Lebon, « Le noir » au centre d’Art de la Villa Tamaris – exposition réalisée par Gérard Georges Lemaire, ainsi que « Lé- gendes » au studio Harcourt. Le Fond d’Art de l’Ermitage lui décerne un prix de photographie à la Maison Européenne de la Photographie.
Parallèlement à sa démarche artistique, elle présente depuis 8 ans une émission de radio mensuelle « Plaisir d’écrire » sur fréquence protestante.
Elle a publié divers ouvrages chez l’Harmattan dont un essai/manifeste sur sa pratique artistique : « De l’Un-précis entre chair iconique et écriture de lumière » ; une pièce de théâtre « Rédemption », illustrée de 50 photographies inédites du métro en rénovation, soutenue par la RATP lors d’une grande exposition sur les grilles de la Motte Piquet. Un premier volume du « Sentier des étoiles » a vu le jour aux éditions Saisons de Culture, rassemblant ses chroniques radiophoniques sur la mystique à travers des mots.
