Jean Merhi pratique la photographie depuis son adolescence, dans un pays déchiré par une longue guerre civile, il réalise des photos portraits pour capter cette lueur d’espoir des Libanais qui au risque de leurs vies gardent le sourire. Photographier, afin de garder en mémoire les visages des femmes et des hommes qui partaient de leurs maisons le matin sans pouvoir y revenir et les familles entières qui partaient en exil.
À Paris, il étudie le théâtre et le cinéma à la Nouvelle Sorbonne, puis, à l’Ecole des Gobelins la prise de vue et la réalisation.
Il Intègre la Maison Européenne de la Photographie en étant vidéaste et photographe de 1996 à 2021.
Jean Merhi éxpose ses photos à l’Institut du Monde Arabe, dans différentes institutions et galeries en France et à l’étranger.